Comprendre l’artificialisation des sols

De la trajectoire « zéro artificialisation nette » fixée par la loi « Climat et Résilience » de 2021, à la réalité des territoires : quelques éléments clés pour comprendre les enjeux de l’urbanisation du Biberacker.

Artificialisation des terres : enjeux et solutions
Un dossier de FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT

Artificialisation : derrière ce terme un peu technique se cache un phénomène dangereux pour la biodiversité et le climat. En général, la notion d’artificialisation désigne les aménagements qui imperméabilisent les sols avec des matériaux comme le béton ou le bitume. Chaque année, en France, entre 200 et 300 km² sont imperméabilisés, soit 2 à 3 fois la taille de la ville de Paris. Cependant, certains acteurs considèrent que ce phénomène recouvre une réalité plus large, en y intégrant l’agriculture et la sylviculture intensive. L’artificialisation des terres est un vaste problème qui a des impacts durables sur les sols, la biodiversité et donc, sur nous autres humains. Pourtant, des solutions existent pour l’éviter ou la réduire.

L’Observatoire national de l’artificialisation des sols « mesure la consommation d’espaces »

« Traduisant la perte de fonction naturelle d’un sol, l’artificialisation est liée à l’urbanisation, et aux différents usages des espaces agricoles et naturels par les humains. » Oui, mais encore ? Le portail met des infographies à disposition, notamment pour comprendre la démarche ZAN.

Office français de la biodiversité

L’OFB propose et met en œuvre des solutions pour limiter cette artificialisation. Parmi elles, la fameuse séquence « Eviter-réduire-compenser ».

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